Mai 2009- Avril 2009 - Mars 2009 -Fevrier 2009 - Janvier 2009
Mai 2009 :
Time to Market en R&D, 3ème partie
La valorisation des gains de productivité dans le domaine de la recherche. Position du « Time to market ».
Le mot de l'éditeur.
La publication du mois de fevrier répond à une demande croissante des industriels.
C'est le 3ème article (sur 3 parties) sur l’application de concept de time to market dans les métiers de la R&D. Après les indicateurs et l’analyse des valeurs des projets pour visualiser leur typologie, le dernier article aborde les méthodes d'amélioration du time to market et les stratégies de gestion et d’optimisation. L’impact sur le management des équipes est aussi abordé.
La première partie a été publiée en Octobre 2008, la seconde en Décembre 2008. Elles sont maintenant disponibles sur demande a SciencExpert.
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Avril 2009 :
Les plans d'experiences
Le mot de l'éditeur :
Les plans d’expériences sont utilisés depuis près d’un siècle. Les agronomes en sont à l’origine. C’est un maillon important d’une démarche hypothético-déductive permettant, compte tenu d’un objectif et de contraintes, de répondre à un problème donné pour un coût minimum avec une précision déterminée.
Si l’on peut considérer que tout ensemble d’expérimentations est un plan d’expériences, tous les plans n’ont pas la même qualité en terme de nombre d’expérimentations et de qualité des conclusions obtenues. Le but est d’obtenir un maximum d’information avec un minimum d’expérimentations, par rapport à l’objectif que l’on s’est fixé.
Janvier 2008 : A paraitre
ANALYSE DE CYCLE DE VIE ET ECOCONCEPTION : LES CLES D’UNE CHIMIE NOUVELLE
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Le mot de l'éditeur.
: Les productions de biens et de service sont désormais sous contrainte. Il ne suffit plus de répondre à un cahier des charges par une voie technique dans le respect des coûts impartis, il faut dorénavant intégrer le respect de l’homme et de l’environnement : limiter les impacts environnementaux. Or la prise en compte de tous les impacts environnementaux au cours du processus de fabrication, et pas seulement l’empreinte carbone ou les émissions de CO2, revient à intégrer l’écoconception aux processus d’innovation. C’est ainsi que le processus d’innovation subit lui aussi d’importantes mutations. On n’attend plus simplement de lui une réponse rapide mais on s’autorise le temps de la réflexion pour apporter une réponse exhaustive concernant l’environnement, une réponse écoconçue.
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